Tout le problème est là, il y a une réchauffement, cela je l'affirme mais il n'est que de 0,4 à 0,5,5C° sur le siècle passé! donc on est loin du degré annoncé tambour battant par les médias.
L'homme a tendance a aussi se considérer comme une espèce dominante toute puissante et surtout omnipotente au point de modifier le climat alors que honnêtement on ne comprend pas encore la mécanique climatique fine de notre petite planète!
La question est la suivante, est ce que c'est la pollution due à la combustion des hydrocarbures et des la surpopulation (il ne faut pas l'oublier les hommes rejettent du CO2 aussi!) ou est-ce un phénomène naturel encore incompris.
Il y a quelque chose que l'on ne sait pas, c'est depuis combien de temps ce prétendu réchauffement est-il commencé?
il semblerait que l'on ai déjà connu des stades plus chaud encore durant l'interglaciaire que nous vivons. (Wûrm-...)
Donc moi je suis très circonspect.
J'étudie les insectes et tout le monde parle et est tombé dans le panneau d'affirmer haut et fort que des espèces méditerannéennes débarquent en force.
Mais de toutes mes observation j'en ai tiré deux conclusions, premièrement la pluapart du temps les données sont incomplêtes car peu d'observateurs.
Deux certaines espèces méridionales ont un:
La limite de leur aire de répartion qui est très fluctuante car ces espèces profitent des climats tempérés maritimes qui sont des climats qui peuvent être très froids ou très chauds. ces espèces ont donc un excellent pouvoir de dispersion (surtout au stade imature) comme le cas d'une libellule que j'étudie en ce moment.
Deux certaines espèces dites méridionales pourraient profiter de "ce réchauffement pour se réinstaller dans des zone occupées jadis et d'où elles ont disparues (le cas de la cordulie à corps fin en hollande) mais ce n'est pas du tout le cas!!! au contraire cette espèce méditerranéenne est bel et bien disparue de hollande et ne semble plus y être observée. Pire les contingents belges pourraient migrer mais ce n'est pas le cas.
Donc alors quoi, je dis observons.
ps: je ne dis pas polluons joyeusement allons y ce n'est pas nous, je dis seulement adoptons une attitude plus raisonnable que celle criée par les médias et qui se résume à dire "on est tous foutu" ce qui déclenche des réflexes de consommation. (il faut le savoir car comme on a plus longtemps à vivre allons y profitons de ces deriers moments) je résume à peine!
Faisons des efforts, pour ne plus entammer des zones refuges exceptionelles (
On est parvenu à substituer des sels de déneigement qui modifiait le ph du sol dans les zones de fagnes proche des routes) apprennons à observer cet environnement dont nous faisons partie.
Consommons l'énergie de manière raisonnable sans excès mais sans militantisme béat (les quantités de CO2 et de gazs de combustions ont surement été phénoménales au moyen âge compte tenu que 80% des forêt sont passées dans des hauts fourneaux pour produire du métal depuis le haut moyen age jusqu'à l'âge industriel)
Cherchons de nouvelles alternatives plus sures moins polluantes comme la fusion thermonucléaire, ou la pile à combustible.
Supprimons les actions inutiles comme la tonte des pelouses dispendieuse en énergie et qui détruit tout (les jardins particuliers que je visite sont des hiroshimas naturels quand le jardinier ne joue pas à l'apprenti sorcier en favorisant l'implantation de plantes non indigènes!)
On commence à l'avoir comris chez moi beaucoup de fossés sont aujourd'hui géré en tonte tardives et cela porte ses fruits car on revois des recollonistation orchidéales.
D'autre part il faut parfois gérer dans les milieu artificiels comme les étangs et les tourbières artificielles qui, si on veut maintenir des espèces ayant un spectre de difusion très faible.
L'homme à ce pouvoir donc de maintenir des espèce qui subiraient les affres de la nature.
Un exemple, comme les fagnes sont peu nombreuses on trouve peu de milieux propice pour les aeshnes subarctiques qui vivent dans les palses. Si on laisse faire la nature ces palses s'assèchent et les plantes herbacées reconquièrent le terrain, ensuite ce seront les arbres.
L'homme à le pouvoir de s'opposer à ce type de disparition, ce qui me fait dire que c'est quand même une espèce formidablement incroyable. Si la nature reprend ses droits l'aeshne subarctique est une espèce condamnée, elle est un cul de sac évolutif (faible pouvoir de dispersion et egigeance très strictes (ph, milieu, altitude etc..), mais l'homme peut par des politique volontaires la maintenir, incroyable non!