Cette méthode dans le récent est souvent couplé à la palynologie. Les otolithes géants des poissons sont souvent utilisés pour déterminer la tempérture des océans, car la relation est quasi direct.
Parmi les problèmes, j'ai oublié d'énoncer celui de la diagénèse. Il y a quelques années, il y a eu une étude sur du Tyranosaure, mais le problème c'est que le signal isotopique était celui issu d'une polution post mortem et non l'original...
Parmi les proxis les plus utilisés, il y a l'émail, la dentine (phosphate ou carbonate), les coquilles, les os ... Mais dans tous les cas, avant de faire une étude isotopique, il est intéressant de connaitre le mode de croissance de ces organes, sinon il risque d'y avoir un biais dans les valeurs et risque de faire une valeur moyenne sur un hiver rigoureux et un été canicaulaire...