Posté par Dino24
Posté par Naldo
Il faut que je retrouve la source.
Posté par Dino24
Posté par Leolios
Posté par AgressiveHumanParasa
ça en fait du monde. merci pour l'info Naldo
Posté par Naldo
Dans l'actuel, les vertébrés sont beaucoup moins nombreux à être décrits chaque année, et ce sont quasi-uniquement des "poissons" ou des amphibiens. Pour les oiseaux et les mammifères, on doit tourner autour de 20-30 espèces maxi par an (j'imagine, je n'ai pas de chiffres sous la main), et ce sont souvent d'anciennes sous-espèces qu'on splitte (sur des arguments génétiques), donc pas de la "decouverte" de biodiversité.
En fait, il semble clair qu'on nomme plus de nouvelles espèces de vertébrés (ou en tout cas de tétrapodes) fossiles que d'actuels.
Posté par Dino24
Posté par Leolios
Posté par AgressiveHumanParasa
Posté par Naldo
Nicholas D. Pyenson, Jeremy A. Goldbogen, A. Wayne Vogl, Gabor Szathmary, Richard L. Drake & Robert E. Shadwick
Nature 485, 498–501 (24 May 2012) doi:10.1038/nature11135
La nutrition des rorquals est assez mystérieuse : comment font ces organismes pour collecter des quantités énormes d'eau (avec le plancton) pour se nourrir, en régulant simultanément leur vitesse, l'ouverture de leur bouche, et la dynamique de leur "poche" qui repousse l'eau pour ne garder que les proies ?
Cet article apporte un début de réponse : un organe jusqu'ici inconnu se loge entre les deux hémi-mâchoires inférieures des rorquals (elles ne sont pas fusionnées au milieu, contrairement à chez les autres mammifères). Cet organe sensoriel comprend des mécanorécepteurs (capteurs de mouvement) reliés aux os de la mâchoire et aux fibres dermiques de la "poche" ventrale. Ainsi, ces cétacés contrôleraient finement les mouvements de ce système de nutrition unique en son genre.
Posté par Leolios
Posté par Stalker
http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2012/05/28/les-humains-sont-apparentes-aux-virus/
Posté par AgressiveHumanParasa
Posté par Stalker
Posté par Croc en stock
Groves CP, Fernando P, Robovský J (2010) The Sixth Rhino: A Taxonomic Re-Assessment of the Critically Endangered Northern White Rhinoceros. PLoS ONE 5(4): e9703. doi:10.1371/journal.pone.0009703
Posté par Webmaster
La théorie d'une bactérie vivant juste d'arsenic réfutée
Pour résumer, la bactérie qui était annoncée en grandes pompes par la Nasa comme étant capable de remplacer le phosphore de ses molécules par de l'arsenic n'en est pas capable. Certes, elles peut vivre dans un milieu contenant d'énormes quantités d'arsenic, mais il lui faut toujours un peu de phosphore.
Deux recherches indépendantes viennent de réfuter l'article de la "découverte", publiée sans doute trop rapidement...
Cela apprendra peut-être la revue Science à faire plus attention aux articles qu'elle publie, mais rien n'est moins sûr.
Mon message du 4 décembre 2010: