Posté par Dinomaster
Je suis d'accord avec toi, les médias ne relayent qu'une info partiel (souvent partial aussi).
Je suis d'accord avec toi aussi, la terre se rechauffe, mais on ne peu pas dire à 100% pourquoi, on a un faisceau d'indices concordants pour dire c'est l'homme, mais pas de preuve.
Mais face à l'opinion il vaut mien appliquer le principe de précotion sinon comment mobiliser en disant "la terre se rechauffe mais bon on sait pas trop pourquoi alors faites quand même attention". Les foules n'ecoutent malheureusement que le catastrophisme et si on dit "la terre se rechauffe c'est votre faute" ca les touchent plus.
Donc finalement on est d'accord sur les constats mais pas sur la manière de les présenter au public.
Posté par Spinoroi
Tout à fait d'accord avec toi !
j'enm ai mramr de ces cpnc qui polluent et etrtntdes orfures.
Posté par Cryolophosaurus
Le pire et que je ne souhaite pas qu'il arrive c'est qu'on est tellement pollué qu'on va faire fondre les calottes polaires et que tout cette eau froide va se repandre et touché le golf stream et la c'est la cata plus de golf stream donc plus de regions temperée, tropicale, etc...
L'homme doit absolument faire de gros efforts dans les prochaines années.
Mes sources sont tirées en parti du cours de SVT que j'ai étudié cette année.
Posté par Pyroraptor
En 1973 il me semble les pinsosn de madagacar comprenait plusieur espece de pinsons qui c'étaient spécialisé dans plusieur domaines certain pour les graines a coquille dure d'autre dans le néttoyage des iguane ou encore dans la capture de larve grace a des brindille. Donc en 1973 il y eu une secheresse énorme sur les galapagos beaucoup d'animaux en sont morts. il ne restait plus qu'un tier de la populations de pinsosn sur l'ile seul les pinsons ce nourrissant de graine a coquille dure trouvé facilement la nourriture mais les autres eurent beaucoup de mal. L'année d'aprés lors de la naissance des petits des scientifiques on observé que tout les petits qui étaient nées était muni du meme bec que ceux pouvant casser les coquille. comme quoi les animaux peuvent s'adapter trés rapidement.
Posté par Spinoroi
Si le niveau de la mer monte, c'est uniquement à cause de la dilatation de l'eau, à cause de la chaleur.
Pour Vari, j'ignorais pour les pinsons, lis ça, je l'ai pris sur futura science !
Les Colobes bais sont des primates arboricoles vivant dans la forêt dense intertropicale africaine. L'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN), les compte parmi les espèces les plus menacées d'extinction. L'homme ne sait pas les maintenir en captivité. Ces singes sont donc très dépendants de la conservation de leur environnement.
Au Sénégal et en Gambie, une équipe de l'IRD spécialisée en primatologie a étudié sur une longue durée des groupes résiduels de colobes bais d'Afrique occidentale (Procolobus badius temmincki). Située dans la forêt de Fathala (Parc National et Réserve Mab de Biosphère du Delta du Saloum, Sénégal), la population la plus septentrionale a dû faire face à une importante dégradation de son environnement.
Des recensements échelonnés dans le temps, menés en collaboration avec l'UICN et les Directions des Parcs Nationaux et des Eaux et Forêts du Sénégal, ont montré que l'effectif des colobes n'a pas régressé dans les mêmes proportions que la densité et la diversité des arbres dont elle dépend. L'analyse des comportements de ces primates a montré qu'ils ont développé des réponses adaptatives efficaces et surprenantes face aux changements de leur environnement, leur permettant ainsi de surseoir à leur disparition.
La principale menace pour la survie de la majorité des primates est la dégradation de leur habitat. Le Parc National du Delta du Saloum au Sénégal inclut un environnement marin composé d'îles et de mangroves, ainsi qu'une partie continentale, la Forêt de Fathala. Celle-ci est composée d'un plateau de savanes boisées et de galeries forestières le long des cours d'eau (aujourd'hui à sec plus de dix mois par an) sur sa partie continentale et de mangroves sur sa partie maritime.
Des primatologues de l'IRD ont analysé l'évolution de la végétation de 1969 à 2002, en particulier les modifications de la couverture ligneuse (la surface occupée par les arbres et les grosses lianes), la densité et la biodiversité des arbres (évaluée à l'aide d'indices spécifiques). Ils ont montré que les trois-quarts des galeries forestières, l'habitat principal des colobes bais, ont disparu et que la diversité des arbres a chuté de moitié. Les activités humaines telles que le surpâturage, les prélèvements excessifs de bois et les feux incontrôlés, dont les effets s'ajoutent à un déficit important des précipitations (300 mm ces trente dernières années), sont responsables de cette dégradation de la forêt de Fathala.
Parallèlement, de 1974 à 1976 et de 1988 à 2002, les scientifiques ont suivi l'évolution de la population de colobes bais, qui n'a subi qu'une très faible régression de son effectif, passant de 600 à 500 individus. Ils ont aussi observé une colonisation de nouvelles forêts, et ont donc cherché à comprendre quels facteurs ont permis la survie de cette population dans des conditions aussi sévères.
Les chercheurs ont mis en évidence que la conservation du Colobe reposait sur cinq adaptations comportementales majeures. La plus ancienne est un accroissement de la consommation de fruits et d'aliments végétaux nouveaux pour l'espèce : des graminées, des herbacées et des graines, en dépit d'une physiologie de foliivore (consommateur de feuilles d'arbres).
La deuxième évolution marquante est un accroissement du temps passé au sol, malgré une morphologie adaptée aux déplacements dans le haut des plus grands arbres (notamment une extrême réduction du pouce propice aux sauts de branches en branches). Les colobes sont donc désormais vulnérables aux prédateurs terrestres comme les hyènes et les chiens. Deux comportements sont apparus plus récemment chez cette population : une tendance à l'association avec d'autres espèces, en particulier avec le singe vert, (Cercopithecus (aethiops) sabaeus), et à la fréquentation d'habitats plus ouverts.
L'utilisation de la mangrove, comme refuge dans un premier temps, puis pour le repos et l'alimentation, est l'adaptation la plus récente. Ces transformations ne sont vraisemblablement pas apparues les unes indépendamment des autres, mais au contraire reliées entre elles. L'hypothèse la plus plausible impliquerait un enchaînement de causes à effets. La perte des arbres a conduit à de nécessaires déplacements au sol, ce qui a parallèlement accru les risques liés aux prédateurs terrestres. Les modifications de l'habitat et la pression de prédation ont induit la tendance à l'association avec d'autres espèces, comme si les colobes bais semblaient "se fier" aux connaissances qu'ont les singes verts des prédateurs terrestres, des ressources alimentaires et d'autres habitats comme la mangrove. Ces modifications ont rendu possible l'extension de leur niche écologique à la mangrove.
Ces cinq adaptations complémentaires se sont mises en place en moins de trente ans, un temps très court à l'échelle de l'évolution. Leur efficacité souligne l'importance des stratégies comportementales dans la survie des vertébrés supérieurs comme les primates. Ces résultats mettent en avant la nécessité de protéger la forêt de Fathala et de créer une zone pour la conservation du Colobe bai du Saloum. Les conclusions de ces recherches ont été intégrées par l'UICN et l'UNESCO dans le Plan de Gestion de la Réserve de Biosphère du Delta du Saloum
Posté par Spinoroi
Posté par Cryolophosaurus
Posté par Spinoroi
Posté par Cryolophosaurus
Sinon j'ai decidé d'arreter de lacher mes gazs a effets de serre, ca sera deja ca de gagner lol
Posté par Nicolas
Et il y a des espèces qui ont pu proliféré grâce à nous (y a un poisson qui est très grand dans la mer médittérranée, qui n'a pas peur de l'homme, mais je ne me souvient plus de son nom...)
Posté par Cryolophosaurus
Posté par Gigy
Posté par Kuzanaguy
Posté par Lolo
Un avenir comme à la Mad Max, non merci
Posté par Cryolophosaurus
Posté par Pyroraptor
Posté par Dinomaster
Posté par Pyroraptor
Je n'ais pas hérité de la terre de mes ancetres mais j'herite seulement de celle de mes enfants.
Posté par Dinomaster
A cause du réchauffement climatique, nos randonnées en forêt pourraient devenir de plus en plus périlleuses. C'est l'étonnante conséquence d'une étude parue dans l'édition en ligne des Proceedings of the National Academy of Sciences : l'élévation du taux de CO2 dans l'atmosphère pourrait conduire à la prolifération de plantes irritantes comme l'herbe à puce qui, de surcroît, verraient leur toxicité renforcée.
Selon une récente étude,
le réchauffement climatique accélererait la croissance de l'herbe à puce et favoriserait la production d'urushiol plus irritant
(Crédits : Jardin botanique de Montréal)
L'herbe à puce, ou Toxicodendron radicans, est une plante ligneuse vivace qui peut être buissonnante, grimpante ou rampante, et que l'on trouve en forêt ou sur le bord des routes. La sève de l'herbe à puce contient un allergène huileux et non volatile, l'urushiol, susceptible de provoquer des inflammations de la peau et d'y faire apparaître des rougeurs, voire des cloques.
En exposant des herbes à puce à un taux de CO2 de 580 parties par million, soit supérieur de 200 parties par million à la teneur actuelle, Jacqueline Mohan (Marine Biological Laboratory, Massachusetts) et son équipe ont mesuré que, chaque année, les plantes grandissaient 1,5 fois plus vite que les herbes à puce témoins.
Plus étonnant encore, une teneur plus élevée en dioxyde de carbone favoriserait la production d'un poison plus puissant. L'urushiol est constitué d'un mélange de composés plus ou moins réactifs. La variété dite « saturée » (où toutes les liaisons entre les atomes de carbone des molécules sont simples, et où chaque carbone porte le maximum d'atomes d'hydrogène possible) est peu irritante, tandis que la variété « non saturée » l'est nettement plus. Les chercheurs ont extrait de l'urushiol des plantes exposées à une forte dose de CO2 et ont établi qu'il contenait 1,5 fois plus de composés non saturés, et 60% de forme saturée en moins. Ainsi, il semblerait qu'une plus grande « offre » en carbone favorise les réactions chimiques produisant des composés non saturés.
Dans leur expérience, menée pendant six ans, les plantes étaient soumises à une teneur en dioxyde de carbone dans l'atmosphère de 580 parties par million. Cette proportion correspond justement à celle attendue pour le milieu du 21ième siècle.
Posté par Dinomaster
http://www.futura-sciences.com/sinformer/o/rechauffement.php