Posté par DOrbigny
Posté par Spinoroi
Posté par DOrbigny
Posté par Spinoroi
Je peux savoir ?
J'ai répondu à ton mp, mais tu ne me réponds plus ? 2 fois de suites ?
Pourles trois nouveaux dessins, ils dervraient être là d'ici mardi ou mercredi au plus tard, je n'ai plus de place dans ma clé usb, donc j'attends que je quelque fichiers deviennent inutiles. car j'en ai encore besoin...
Posté par 6fle
Alors ça ! C'est trés trés vrai ! Ca te mets dans le crayon toutes les notions de proportions qu'il faut avoir. Je ne l'ai pas fait chez les dinosaures, mais c'est comme ça que j'ai appris à gérer les chevaux.
Tu ne te feras pas incendier par 6fle, ma parole !
Posté par Spinoroi
Posté par Nobody
Alors, au final... je trouve que décalquer n'est vraiment pas une hérésie. Même si j'ai arrêté de le faire, je sais que c'est un truc qui marche. Ne serait-ce que pour que tu prennes confiance en toi ! Pas de dessins aux proportions complètement... fantaisiste. Du coup, tu ne lâches pas le crayon. Et aprés, le calque, tu l'oublies tout naturellement dans le tiroir du bureau. Sans même y faire attention.
Posté par 6fle
Posté par Spinoroi
p.s. Je ne débute pas, mais ça va bientôt faire 14 ans que je dessine les dinos, j'avais 3 ballets.
Posté par 6fle
Et puis je vois des amis qui font du dessin (autrement mieux que moi), et qui s'aident aussi du papier calque. Un ami dessinateur qui n'avait jamais fait de chevaux... hé bien, il a pris un de mes Cheval Mag, il a chopé la bête qui lui plaisait, et crac, décalquage. Ca sert pas mal pour les dessins préparatoires, ais-je remarqué. D'autant que parfois, quand les perspectives sont mal placées, pour recommencer le dessin, mais avec exactement, les mêmes personnages... décalque ! Tu places un personnage, tu déclaques l'autre, que tu bouges sur ton papier pour voir où est-ce que c'est le mieux foutu. Ce qui fait que tu te retrouves à décalquer tes propres petites oeuvres.
En fait, c'est chacun qui voit midi à sa porte ! Et pour moi, il n'existe pas de technique ultime de l'art. Ma petite soeur m'avait traumatisée en me disant que je ne peignais pas comme une pro, parce que je dessinais avant de de peindre (et finalement, elle avait tort, car rares sont les peintres qui se lancent sur la toile sans traits au crayon dessous, en plus). Du coup, je n'ai pas peins pendant une éternité. De toutes manières, ma soeur, pour ce genre de truc, elle était traumatisante. La première fois que j'ai fait son portrait et que je lui ai montré... elle est partie en courant et en pleurant ! Tu parles d'un encouragement ! J'ai compris, mais des lustres plus tard, qu'elle n'avait pas fondu en larmes parce que mon dessin était trop moche, mais parce que j'avais fait figurer ses tâches de rousseurs qu'elle haïssait à ce moment-là... pffff.
Donc bref. Pour le dessin, tous les moyens sont bons. Et il n'existe pas de "nobles" techniques et de "basses" techniques. En plus, un écrivain disait (Marc Lévy, qui est qualifié d'écrivain populo) qu'il n'y a pas de mauvais bouquins, mais que tous les bouquins, quels qu'ils soient, formaient un escalier. Et que lire un bouquin appelle à en lire un autre. Je pense que c'est valable pour le dessin. Le dessin appelle au dessin, et rare sont les gens qui restent figés dans une manière de faire. Il y a toujours une évolution, alors autant qu'elle se fasse dans le plaisir plutôt que la douleur.
Posté par Spinoroi
Posté par Nicolas
Posté par Spinoroi
Posté par Spinoroi
Posté par Nicolas
Posté par Spinoroi
Merci !
Posté par Nicolas
Posté par Spinoroi
Merci pour tes compliment !
Posté par Nicolas
Posté par Spinoroi