Posté par Eragon
J'espère que ce n'est pas une bêtise
Posté par HoT ChOcOlAtE
Celui de Senckenberg correspond à quel moulage ?
Comment on différencie un Compso' d'un Archéopteryx ?
Merci d'avance !
Comment on différencie un Compso' d'un Archéopteryx ?
Merci d'avance !
Posté par Gigy
Celui de Senckenberg est le "mien" donc le berliner exemplar.
On différencie archaeo de compsos par la longueur de la queue, plus courte chez archaeo, la longueur des doigts des mains, et le fait qu'un des doigts des pieds est placé en opposition par rapport aux autres.
On différencie archaeo de compsos par la longueur de la queue, plus courte chez archaeo, la longueur des doigts des mains, et le fait qu'un des doigts des pieds est placé en opposition par rapport aux autres.
Posté par Eragon
Les Acréhopteryx SONT des Dinosaures, non ?
Presque.
Cladistiquement (dans la classification des dinosaures), c'est un Aves. Ce groupe fait partie des Theropoda. Donc de ce côté oui.
Ensuite, les Aves sont plus considérés comme des descendants donc on ne peut pas certifier qu'il sagisse d'un dinosaure.
J'espère que ce n'est pas une bêtise
Merci de me répondre
Posté par Gigy
Apparament Il est un peu à cheval sur les deux! classé d'après Science 310 dans les troodontidae!
alors elles vous plaisent mes petites images?
alors elles vous plaisent mes petites images?
Posté par HoT ChOcOlAtE
Merci gigy pour les finos !
Magnifiques images !
C'est encore plus sympa en vrai !
Magnifiques images !
C'est encore plus sympa en vrai !
Posté par Cryolophosaurus
Petite rectification, a cherves on a trouvé qu'une seule dent d'archéoptéryx d'apres les journaux et les revues scientifiques lol je met mon petit grain de sel...
Posté par Gigy
J'ai changé merci
Posté par Cryolophosaurus
Excusez moi je flood, mais j'ai oublié une chose importante, tres beau dossier et tres belles photos
Posté par Archeo
1. ? Mais découvert par Solnhofen ( 1860 )
2. LONDRE
http://www.bartleby.com/86/0701.gif
3. BERLIN
http://www.nephitimesnews.com/paleoproject/Archie.jpg
4. MAXBOURG ( Allemagne )
5. ?
http://www.archeopteryx.org/cor/a_root/images/common/archeopteryx04.gif squellete non trouvé
6. ? Mais un spécimen de Solnehofen
2. LONDRE
http://www.bartleby.com/86/0701.gif
3. BERLIN
http://www.nephitimesnews.com/paleoproject/Archie.jpg
4. MAXBOURG ( Allemagne )
5. ?
http://www.archeopteryx.org/cor/a_root/images/common/archeopteryx04.gif squellete non trouvé
6. ? Mais un spécimen de Solnehofen
Posté par Gigy
Tu as un peu mélangé les pinceaux là alors le premier est bien specimen london ok, le deux berliner exemplar, mais le trois est à n'en pas douter la partie négative du london specimen et pas le Maxberg exemplar. Quand à 5 et six, le 5 est un dessin du 6 avec les plumes qui est le Eischtteter exemplar donc le spécimen qui a le plus beau crâne.
Voir les images que j'ai mise la page avant.
Voir les images que j'ai mise la page avant.
Posté par Lexovisaurus
Voila une carte qui devrait peut-etre vous interesser.
Posté par Webmaster
Excellente, la carte, même s'il manque un ou deux spécimens
Posté par Pyroraptor
L'archéoptéryx pourrait avoir développé une méthode pour planer entre les arbres et gagner de l'énergie. Les écureuils volants voyagent à travers la forêt en grimpant et en planant (Norberg 1990). Quand les corbeaux décollent d'un arbre, ils ne semblent pas utiliser une énergie supplémentaire. En premier, ils perdent de la hauteur puis piquent en virant entre deux branches. Cela se produit de la même manière pour tout objet volant (avion, planeur ou animal volant) qui se retrouve dans une situation de "non-équilibre", lorsqu'il n'a pas suffisamment d'air dans ses ailes pour accroître la portée (Feduccia 1993). Le résultat est une perte initiale de hauteur et un accroissement de la vitesse. L'ascension s'accroît alors du carré de la vitesse (à condition que le contrôle ne bouge pas) et le mouvement suivant est une ondulation appelée ondulation phugoïde, convertie en énergie potentielle et cinétique (Templin 2000 et figure). En vol plané, le mouvement est atténué par le vol plané stabilisé, en effet le taux d'atténuation est inversement proportionnel au rapport ascension/traînée. Les objets dont ce rapport est élevé, comme les avions modernes, possèdent un niveau phugoïde bas, mais puisque le mouvement est proportionnel à la vitesse, le contrôle est facilité. Il est probable que l'archéoptéryx utilisé une stratégie similaire pour se mouvoir d'arbre en arbre en utilisant l'oscillation phugoïde sans dépenser plus d'énergie.
Dans la figure ci-dessous 4 trajets de l'archéoptéryx sont simulés par ordinateur avec une vitesse horizontale de 2m/s à partir d'une hauteur arbitraire de 15 m. La masse a été fixée à 200 grammes (cela représente le spécimen trouvé à Eichstätt) et l'envergure à 54,5 cm. Aucune pente ne fut attribuée, pour obtenir un rétablissement le plus rapide possible. Les courbes 1 et 3 montrent une faible oscillation phugoïde de l'archéoptéryx, considérant que les courbes 2 et 4 sont avec une puissance de vol de 3,42 W (estimation de la puissance maximale en continue), débutant 1 seconde après le bond, quand la vitesse de l'air est suffisante pour soulever les ailes sans effort musculaire pendant l'ascension. Ces courbes montrent comment l'archéoptéryx voyageait d'arbre en arbre, sans dépenser d'énergie.
L'étude sur simulateur de vol suggère que notre archéoptéryx fut capable de vols d'une hauteur inférieure à 10 m, même en l'absence de vent contraire. En comparant le décollage depuis le sol, le bilan énergétique au décollage d'un archéoptéryx arboricole est plus rentable, à même masse et même taille. Il apparaît qu'un spécimen adulte de 600 g dépense 48,1 joules au décollage depuis le sol, tandis que pour le même depuis un arbre, la puissance n'est que de 19 joules. Il est probable qu'un archéoptéryx adulte avait besoin d'environ 10 m pour partir dans les airs, un vent contraire ne pouvant qu'être favorable. Or, ce n'était pas un problème car les arbres étaient très grands à cette époque, permettant à l'archéoptéryx de grimper, sauter et planer.
Reconnaissances à:
G.E. Goslow, Jr., Larry Witmer et 2 critiques anonymes pour leurs conseils lors de la relecture de ce manuscrit; Cecilia Carter, Kyle McQuilkin et Soumya Chatterjee pour l'assistance éditoriale; et Kyle McQuilkin pour les illustrations. Nous remercions Larry D. Martin pour la mise en forme tri-dimensionnelle de l' Archaeopteryx à Londres; Kyle McQuilkin pour le montage et les modifications du spécimen et Bill Mueller pour la photographie. La recherche a été assistée par Texas Tech University.
Sankar Chatterjee et R. Jack Templin
Dans la figure ci-dessous 4 trajets de l'archéoptéryx sont simulés par ordinateur avec une vitesse horizontale de 2m/s à partir d'une hauteur arbitraire de 15 m. La masse a été fixée à 200 grammes (cela représente le spécimen trouvé à Eichstätt) et l'envergure à 54,5 cm. Aucune pente ne fut attribuée, pour obtenir un rétablissement le plus rapide possible. Les courbes 1 et 3 montrent une faible oscillation phugoïde de l'archéoptéryx, considérant que les courbes 2 et 4 sont avec une puissance de vol de 3,42 W (estimation de la puissance maximale en continue), débutant 1 seconde après le bond, quand la vitesse de l'air est suffisante pour soulever les ailes sans effort musculaire pendant l'ascension. Ces courbes montrent comment l'archéoptéryx voyageait d'arbre en arbre, sans dépenser d'énergie.
L'étude sur simulateur de vol suggère que notre archéoptéryx fut capable de vols d'une hauteur inférieure à 10 m, même en l'absence de vent contraire. En comparant le décollage depuis le sol, le bilan énergétique au décollage d'un archéoptéryx arboricole est plus rentable, à même masse et même taille. Il apparaît qu'un spécimen adulte de 600 g dépense 48,1 joules au décollage depuis le sol, tandis que pour le même depuis un arbre, la puissance n'est que de 19 joules. Il est probable qu'un archéoptéryx adulte avait besoin d'environ 10 m pour partir dans les airs, un vent contraire ne pouvant qu'être favorable. Or, ce n'était pas un problème car les arbres étaient très grands à cette époque, permettant à l'archéoptéryx de grimper, sauter et planer.
Reconnaissances à:
G.E. Goslow, Jr., Larry Witmer et 2 critiques anonymes pour leurs conseils lors de la relecture de ce manuscrit; Cecilia Carter, Kyle McQuilkin et Soumya Chatterjee pour l'assistance éditoriale; et Kyle McQuilkin pour les illustrations. Nous remercions Larry D. Martin pour la mise en forme tri-dimensionnelle de l' Archaeopteryx à Londres; Kyle McQuilkin pour le montage et les modifications du spécimen et Bill Mueller pour la photographie. La recherche a été assistée par Texas Tech University.
Sankar Chatterjee et R. Jack Templin