Como Bluff
Ce site a été découvert en 1870 par des pionniers pendant la construction de la voie ferrée. La plupart des fossiles de dinosaures découverts sont des sauropodes du Jurassique. Les sauropodes découverts sont des dinosaures très connus comme Diplodocus, ou Apatosaurus, ou encore Camarasaurus. Des centaines de spécimens ont été découvert à cet endroit. Aujourd’hui c’est encore le Muséum d’Histoire Naturelle de New York qui exploite ce gisement, plus spécialement les fouilles sur la carrière de Bone Cabin, depuis 1890 le Muséum d’Histoire Naturelle de New York dirige les fouilles.
Rancho La Brea
C’est au début du vingtième siècle que Rancho la Brea commença à être fouillé par des scientifiques. Les scientifiques comprirent que Rancho la Brea était un gisement assez exceptionnel. Le goudron qui a tué ses animaux est un terrible piège naturel. Grâce à cela on a pu découvrir des dizaines d’espèces de mammifères, comme le mammouth, ou le tigre à dent de sabre. On y a même retrouvé des restes d’os humain qui date de 9000 av. J.C! Et des restes d’oiseaux et de condors venant chercher un cadavre, et ce sont eux-mêmes retrouvé au piège. Les scientifiques ont découverts à La Brea de nombreuses traces fossiles de végétaux, notamment des pins, des Chênes, de l'herbe, des petits buissons etc...
Ces animaux ce sont retrouvés ici à cause de la zone marécageuse qui contenait tout les dix ans un bitume naturelle qui les englua et les conserva parfaitement. Mais il n’y a pas seulement des animaux. Les scientifiques ont aussi retrouvés des plantes et des invertébrés mais pas en grande quantité.
Grâce à ses découvertes nombreuses, on a pu reconstitué l’environnement de Rancho la Brea au Pléistocène. Le bison, Camelops devaient être les principaux grands herbivores, tandis que du côté des carnivores, l'ours était le plus gros et le plus grand prédateur aussi bien grand que terrible, le lion américain pouvait lui aussi être le plus terrible, car il est gros que les lions actuels d'Afrique.
Jusqu’à aujourd’hui, les paléontologues et les amateurs du début de 20ième siècle, ont découvert plus de 565 espèces. Un musée à été construit en plein centre de Los Angeles permettant d'admirer les découvertes faites sur ce gisements. Aujourd’hui dles mares de bitume continuent de suinter et poursuivent l'engluement d'animaux actuels.
Les schistes de Burgess
Les schistes de Burgess ont réellement étaient découverts en 1980 par Harry Whittington, Derek Briggs et Simon Conway Morris de l'Université de Cambridge. Il constitue un écosystème complet marin d’environ 700 millions d'années. Ce site s'est formé sur les bords d'un plateau boueux, qui certaines fois devait se décrochait et tombait plus bas, formant de véritables avalanches de boue qui était extrêmement dangereuse, permettant de conserver les animaux en parfait état. La faune est ainsi exceptionnellement bien conservée, dans un milieu anéorobie (sans oxygène), donc sans décomposition des parties molles. D’où, sont importance.
C’est à cette époque qu’il y eu « l’explosion de la vie cambrienne ». Les schistes de Burgess possèdent des animaux qui sont complexes, que même les paléontologues n’imaginaient pas du tout. Certains paléontologues ont même qualifié les schistes de Burgess de Pompeï paléontologique, car la vie à été foudroyée à plusieurs reprises, et figée pour l'éternité. Même si certains animaux fossiles ont été détruits partiellement par le temps. Les trilobites faisaient parti de la faune, ainsi que l’opabinia, et plusieurs autres animaux. Les schistes s’étendent d’après certains travaux scientifiques, sur plusieurs kilomètres !
La vie à cette époque, et dans cet endroit devait être dominé par l’anomalocaris, qui pouvait mesuré environ 1m50 de long. Ce carnivore devait être le plus gros prédateur de l’époque. Les trilobites devaient faire leurs apparitions, tandis que hallucigenia traverser leur sur ces épines qui le protégé peu de l’anomalocaris. Sur le sable se cachait des animaux qui ressemblaient à des vers et qui pourtant n’était pas de leur famille. Par contre malheur au animaux qui se promener dans certaines abysses, car des études ont prouvé qu’il n’y avait que peu d’oxygène dans celle-ci ! A aucun endroit on était à l’abri. Même les algues abritaient des animaux peu attirant et commodes.
Alberta
Le long des berges de la Red Deer River, dans la province d’Alberta, au Canada, s’étend l’un des plus prestigieux sites de dinosaures du monde. 350 squelettes de dinosaures y ont déjà été découverts et, chaque année, de nouveaux restes y sont exhumés. Cette région est si riche en fossile qu’on y a crée le Dinosaur Provincial Parc. Ce parc fait maintenant partie du patrimoine mondial de l’Unesco, au même titre que les pyramides d’Egypte ou les îles Galápagos. Les dinosaures y vécurent il y a environ 75 millions d’années, vers la fin de l’âge des dinosaures, lorsque le climat était encore chaud et les terres recouvertes de plantes subtropicales. Aujourd’hui, la pluie et la neige érodent les formations rocheuses – les spectaculaires bad lands -, et mettent à nu les nombreux restes de dinosaures. Les hadrosaures sont bien représentés parmi les squelettes trouvés, mais il existe aussi de grandes concentrations de Centrosaurus à cornes, d’Euoplocephalus cuirassés et d’Albertosaurus.
Au début des années 1900, les collectionneurs de dinosaures se sont rués sur les bords de la Red Deer River. Les fossiles d’hadrosaures, d’ankylosaures et de dinosaures à cornes furent emportés des bad lands sur des chariots ou des radeaux. De nos jours, la collecte de fossiles requiert toujours autant de travail et de patience, mais dans le Dinosaur Provincial Park, les gros blocs d’os de dinosaures sont transportés dans un musée proche par de puissants camions ou par hélicoptères.
C’est dans l’Alberta que fut retrouvés un véritable troupeau de Centrosaurus qui a été conservé dans l’un des couches. Les ossements trouvés appartiennent aussi bien à des jeunes qu’à des vieux animaux ; certains ont été brisés et piétinés comme s’il y avait eu un sauve-qui-peut général. Il semble que ces animaux aient péri en tentant de traverser un fleuve déchaîné ; certains Centrosaurus ont été bousculés et écrasés par les autres.
Dinosaur National Monunent
Le « Dinosaur National Monument » du Colorado et de l’Utah (USA) est le site où l’on trouve des fossiles de dinosaures du Jurassique supérieur le plus diversifié au monde. On a retrouvé des centaines de squelettes de Sauropodes du type de Diplodocus, Apatosaurus, Barosaurus, et Camarasaurus, et parmi d’autres découvertes importantes, de nombreux vestiges de Stegosaurus et quelques squelettes bien conservés de Théropodes.
Au Jurassique, la région appelée de l’actuel Colorado abritait de nombreux dinosaures, parce qu’il y avait énormément de rivières où ils pouvaient y boire. Le relief était plat et ces rivières débordaient durant la saison des pluies. A chaque inondation, des cadavres de dinosaures étaient emportés et déposés dans les méandres, où le courant ralentissait. Ensevelis sous les sédiments, ils se fossilisaient progressivement.
Les paléontologues ont maintenant découvert un grand nombre de ces ossements dans la carrière des dinosaures du National Monument. Là, les visiteurs peuvent admirer le mur de fossiles, une paroi rocheuse abrupte dans laquelle sont inscrutés plus 1500 ossements.
Hell Creek
Hell Creek se trouve à l’est des montagnes Rocheuses dans le Montana, aux USA. Cet endroit a été constamment détruit par l’érosion qui a permis de faire ressortir les roches qui contiennent des fossiles du Crétacé supérieur. Ces roches contiennent plusieurs des derniers dinosaures qu’avait connu la Terre il y a 65 millions d’années.
Beaucoup de dinosaures vivaient dans l’actuel Montana entre 70 et 65 millions d’années. A cette époque la région était une grande plaine, (qui n’était pas bien haut au-dessus du niveau de la mer), que traversée de nombreuses rivières. Le climat était doux et pluvieux (comme l’Europe de l’Est aujourd’hui) et produisait une végétation luxuriante pour les herbivores (hadrosaures, cératopsiens etc…)